Introduction
On peut dire que de manière générale, la tâche principale des parents est d’être l’exemple vivant d’un enfant de Dieu en marche vers la sainteté. Tomber, se relever et faire les bons choix, voilà ce que chacun est appelé à faire dans sa vie. À la question du jeune homme riche : « Maître, que dois-je faire de bon pour obtenir la vie éternelle? » (Mt 19, 16), Jésus répond : « Si tu veux être parfait, suis-moi » (Mt 19, 21). Le Christ veut que nous soyons vraiment libres et que nous soyons capables de nous aimer en frères et sœurs. C’est pourquoi il nous donne l’Esprit-Saint, qui rend libre et affranchi des puissances du monde et donne la force de vivre amour et responsabilité[1]. Les parents influent toujours sur le développement moral de leurs enfants[2] et le fait de les mettre à la suite du Christ se présente alors comme une belle aventure offerte par Dieu aux parents.
« Es-tu père, mère, grand-père ou grand-mère ? Sois saint en enseignant avec patience aux enfants à suivre Jésus.[3] »
L’éducation morale est une formation à la liberté
« Tout m’est permis »; mais tout n’est pas profitable. « Tout m’est permis »; mais je ne me laisserai, moi, dominer par rien » (1 Co 6, 12)
Développer de bonnes habitudes
Les passions sont précieuses lorsqu’elles nous poussent à faire le bien. Le devoir des parents est d’offrir à leurs enfants de multiples occasions de découvrir leurs passions, qui sont des indices de la vocation que Dieu a mis dans le cœur unique de chacun. On ne saurait trop recommander aux parents de leur permettre d’essayer plusieurs activités dans le domaine des sports, de la formation intellectuelle, de la foi et des arts, car les enfants développent la pratique des vertus « à travers des propositions, des motivations, des applications pratiques, des stimulations, des récompenses, des exemples, des modèles, des symboles, des réflexions, des exhortations, des révisions de la façon d’agir et des dialogues qui aident les personnes à développer ces principes intérieurs stables qui conduisent spontanément au bien[4] ». Une telle réalisation du processus de formation permet aux enfants de découvrir par eux-mêmes « la portée de certaines valeurs, principes et normes, au lieu de se les voir imposées comme des vérités irréfutables[5] ». Former la conscience du bien et du mal et apprendre, dans la persévérance, à renoncer à des passions qui détournent du bien est un processus qu’il appartient aux parents de mettre en place au sein de leur foyer. Il n’y a rien de tel que le soutien de sa famille pour constater jusqu’à quel point il lui convient de bien agir[6].
« La vertu, c’est ce que l’on fait avec passion ; le vice est ce que, par passion, on ne peut pas s’empêcher de faire » (Saint Augustin)[7]
Les écrans
Afin de leur donner toutes les chances de se sanctifier, le premier devoir des parents est de protéger leurs enfants des dangers qui les guettent. Il faut leur apprendre à mettre leur confiance dans les bonnes personnes ; tout en étant bienveillants envers les autres et « lumière du monde », particulièrement envers les personnes seules ou éprouvées, les enfants doivent comprendre qu’il existe un ennemi, que le Christ a certes vaincu, mais qui rode et qui veut leur perte. Les médias sociaux sont un reflet du monde matériel et la famille est le lieu par excellence pour apprendre à discerner de manière critique les messages véhiculés par les divers moyens de communication sociale[8] :
On ne peut ignorer les risques des nouvelles formes de communication pour les enfants et les adolescents, qu’elles convertissent parfois en abouliques, déconnectées du monde réel. Cet « autisme technologique » les expose plus facilement à la manipulation de ceux qui cherchent à entrer dans leur intimité pour des intérêts égoïstes.[9]
« En ce temps où règnent l’anxiété et la vitesse technologique, une tâche très importante des familles est d’éduquer à la patience. Il ne s’agit pas d’interdire aux jeunes de jouer avec les dispositifs électroniques, mais de trouver la manière de créer en eux la capacité de distinguer les diverses logiques et de ne pas appliquer la vitesse digitale à tous les domaines de la vie »[10].
Stimuler et corriger
Corriger les enfants est une tâche ingrate que peu de parents mettraient en haut de leur liste de tâches parentales préférées. Pourtant, stimuler et corriger les enfants est une des tâches les plus importantes pour quiconque a la responsabilité de les élever. La Bible regorge de passages où l’on peut voir Dieu notre Père corriger son Peuple avec amour, patience et miséricorde. C’est l’image véritable du Père que nous indique le Fils. De même que le Fils de Dieu nous enseigne à demander pardon et à pardonner, il faut orienter fermement à demander pardon et à trouver une forme de réparation l’enfant qui a causé un tort aux autres[11]. C’est la responsabilité qui revient en premier aux parents d’encourager les enfants à vivre l’Évangile et de souligner les bons comportements et les bonnes habitudes des enfants, tout en identifiant toutefois les gestes, les paroles et même les pensées qui les feront chuter. Victime ou bourreau, il faut accompagner l’enfant qui fait l’expérience des conséquences du péché.
Il est important aussi que les enfants sentent qu’ils ne sont jamais perçus comme des ennemis, ce qui se produit lorsque les parents perdent patience et cèdent à la colère[12]. La discipline des enfants doit toujours être une occasion pour eux de grandir ; elle ne doit jamais devenir une inhibition du désir[13], car le désir est fondamentalement une énergie qui attire l’enfant vers le beau, le bon, le vrai.
Apprentissage de la patience
Reporter n’est pas nier le désir mais retarder sa satisfaction. Lorsque les enfants ou les adolescents ne sont pas éduqués à accepter que certaines choses doivent attendre, ils deviennent des gens impatients, qui soumettent tout à la satisfaction de leurs besoins immédiats et grandissent avec le vice du « je veux et j’ai ». C’est une grave erreur qui ne favorise pas la liberté, mais l’affecte. »[14]
La cohabitation est l’occasion naturelle de l’apprentissage de la patience en famille. Dans une famille nombreuse, tous n’ont pas les mêmes états d’âme en même temps et l’enfant y trouve l’opportunité de découvrir l’effet de l’humeur des autres sur le sien et du sien sur celui des autres. Attendre son tour pour l’utilisation de la salle de bains, écouter avec attention les autres qui parlent, conserver un niveau de bruit raisonnable qui tienne compte du besoin de chacun de vaquer à ses propres occupations : voilà quelques exemples de l’apprentissage naturel de la patience que la famille propose de façon plus excellente que nulle part ailleurs. « Évidemment, ceci n’implique pas d’exiger des enfants qu’ils agissent comme des adultes, mais il ne faut pas mépriser leur capacité à grandir dans la maturation d’une liberté responsable[15] ».
L’éducation sexuelle
« Personne d’autre que les parents, préparés de façon adéquate, n’est en mesure de mieux réaliser l’éducation morale dans ce domaine délicat. »[16]
L’éducation à l’attente et à la patience prend une importance capitale en matière d’éducation à la sexualité et à la chasteté. Qu’ils accomplissent leur mission en tant que couple marié, seuls ou en remplacement des parents naturels, les éducateurs doivent aborder la grande responsabilité qui leur est confiée par Dieu « dans un esprit de prière, ouverts et obéissants aux vérités morales de foi et de raison qui intègrent l’enseignement de l’Église[17] ». L’éducation des enfants à la chasteté est éclairée par « deux vérités essentielles : la première est que l’homme est appelé à vivre dans la vérité et l’amour ; la seconde est que tout homme se réalise par le don désintéressé de lui-même[18]. »
Les droits et les devoirs des parents
L’éducation, particulièrement en ce qui concerne la sexualité, est l’essence même de la mission des parents et ils doivent à cet effet être vigilants quant à ce que leurs enfants apprennent à ce sujet, à la maison comme à l’école. « Parce qu’ils ont donné la vie à leurs enfants, les parents ont le droit originel, premier et inaliénable de les éduquer[19] ». En effet, le principe de subsidiarité tel qu’enseigné par l’Église établit que, bien qu’ils puissent se faire aider dans leur mission d’éduquer les enfants, le jugement des parents prévaut sur celui des éducateurs, qui doivent enseigner tout ce que les parents enseigneraient eux-mêmes, et rien de plus. Non seulement s’agit-il d’un devoir qui relève ultimement des parents, mais ces derniers seraient les premiers et ultimes coupables de la conduite sexuelle immorale de leurs enfants s’ils laissaient à d’autres la responsabilité de l’éducation sexuelle de leurs enfants[20].
L’éducation à la chasteté
Une personne joyeuse et libre de tout esclavage de l’égoïsme sera capable de vivre la chasteté. La tâche des parents est justement d’élever leurs enfants de manière à ce qu’ils apprennent à faire attention aux autres et à se mettre en rapport avec eux « en sachant respecter leur dignité dans leur diversité ». Il ne s’agit pas d’interdire ou de permettre, mais d’éduquer les enfants à la véritable liberté et à « ce qui favorise ou compromet la croissance de l’homme nouveau régénéré dans le Christ[21] ». L’objectif premier est d’enseigner la maîtrise de soi et l’autonomie face à ses impulsions[22], et la famille est la première école des valeurs, où on apprend l’utilisation correcte de la liberté[23].
Attention cependant de ne pas tomber dans la détestation du corps! Il faut apprendre aux enfants à embrasser son propre corps, tel que Dieu l’a créé[24]. Le corps est un cadeau du Seigneur et quand on aime quelqu’un, on fait attention aux cadeaux qu’il nous fait. Il faut être très vigilants aux mots utilisés dans le foyer, car certaines expressions courantes impriment, dans l’inconscient, des images négatives du corps et tendent à offrir un seul modèle de corps « parfait », forgé sur celui des mannequins des magazines de mode.
De nos jours, on aurait tendance à définir la « liberté sexuelle » comme celle de pouvoir avoir des relations sexuelles avec n’importe qui et n’importe quand, dès qu’on en a envie. Pourtant, en y réfléchissant bien, on constate rapidement que la véritable liberté consiste plutôt à pouvoir dire non et à maîtriser les pulsions sexuelles naturelles. Les humains, contrairement aux animaux qui n’ont pas cette liberté, se distinguent justement par cette capacité à refuser « certaines pensées, paroles ou actions peccamineuses[25] ». Il arrivera à tous, un jour ou l’autre, de se faire violence, mais le Christ nous assure de sa Grâce : « Et voici que je suis avec vous pour toujours jusqu’à la fin de l’âge » (Mt 28, 20).
« La chasteté est l’énergie spirituelle qui libère l’amour de l’égoïsme et de l’agressivité »[26]
Dans une famille où règnent l’amour et le respect envers Dieu et les autres, l’apprentissage de la chasteté vise à les aider à comprendre et à découvrir leur propre vocation au mariage ou à la virginité consacrée[27]. Un tel climat positif – d’amour, de vertu et de respect des dons de Dieu, en particulier du don de la vie – favorise l’éducation intégrale des enfants, ce qui veut dire qu’au-delà des habiletés sociales et cognitives et des vertus sociales, la famille est l’endroit qui amène une véritable éducation « à la plénitude de l’humanité[28] ». Dans notre monde d’aujourd’hui, dans lequel les adolescents sont désensibilisés au caractère sacré de la sexualité, l’accès facile à la pornographie et l’hypersexualisation du corps des femmes dans un but commercial déforment la sensibilité de ces derniers. Il ne suffit donc pas aux parents de les éduquer de manière préventive et critique : une « dénonciation courageuse auprès des autorités » est requise de leur part[29]. Enfin, on peut dire qu’un autre objectif de l’éducation à la chasteté est « d’aider graduellement les enfants à comprendre la valeur de la sexualité et de la chasteté en soutenant leur maturation par la parole, l’exemple et la prière[30] ».
Apprendre à devenir un homme, une femme
Les stéréotypes hétéronormatifs sont un cancer qui ronge l’estime de soi des enfants, qui sont soumis à des conceptions rigides des rôles des femmes et des hommes dans la société. On associe trop facilement certains traits de caractère, des couleurs ou des expressions à un sexe ou à un autre, ce qui a pour effet de inhiber « le développement des capacités de chacun, au point d’amener à considérer comme peu masculin de se dédier à l’art ou à la danse et peu féminin de s’adonner à une activité de conduite de voitures[31] ». Nul ne peut être « peu masculin », nulle ne peut être « peu féminine ». Le sexe d’une personne fait partie intégrante de son être et on ne saurait encourager un enfant à « n’être qu’un peu lui-même. » Dieu nous aime à mourir. Il faut toujours valoriser chacun de nos enfants pour ce qu’il est et l’accompagner à faire face aux préjugés de la société. C’est la seule manière de la faire changer, et ce changement commence dans nos foyers!
L’éducation à la foi
Il nous est aisé de comprendre que Dieu aime chacun de ses enfants de manière unique, parce que les parents aussi aiment chacun de leurs enfants de cette manière. La formation morale des enfants se réalise par un dialogue éducatif « qui prend en compte la sensibilité et le langage propre aux enfants[32] ». Dans son exhortation apostolique Amoris Laeticia, le pape François recommande aux parents de multiplier les « les témoignages lumineux qui s’imposent par leur simple beauté [33]». Les enfants canonisés tels que Dominique Savio, Maria Goretti et François et Jacinta Marto sont évidemment des exemples incontournables à offrir aux enfants. Leurs vies et leurs personnalités démontrent bien qu’il n’y a pas un seul et même exemple de modèle de sainteté, mais que chacun, avec ses forces et ses défis, peut témoigner d’une confiance en Dieu qui porte des fruits[34]. On ne saurait non plus passer sous silence les familles saintes, dans lesquelles les parents et les enfants se soutiennent mutuellement et s’offrent en modèle les uns aux autres. On pense bien sûr à la famille Martin, dont les parents Louis et Zélie ont récemment rejoint leur fille Thérèse (de Lisieux) au canon des saints.
Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus aimait et admirait sa famille. Elle disait d’eux : « Le bon Dieu m’a donné un père et une mère plus dignes du ciel que de la terre ». Comme elle, tant d’autres saintes filles ou saints fils d’un parent devenu saint ou sainte, ont grandi dans un foyer où Dieu était toujours mis à la première place, où l’on apprenait à vivre de l’Évangile et de la prière au quotidien. L’Église, en les élevant aux honneurs des autels, offre aux croyants un exemple à imiter et, par leur intercession, une aide à laquelle recourir.[35]
Les parents ne doivent pas avoir peur de réinventer leurs méthodes et de trouver de nouvelles ressources[36]. Les sites internet de l’Église regorgent d’idées nouvelles pour ceux-ci et proposent plusieurs activités à faire à la maison. Au-delà de la préparation sacramentelle, la catéchèse aux familles est une occasion et un moyen efficace d’offrir aux parents une formation à l’éducation morale et « pour les rendre conscients de leur mission comme évangélisateurs de leur propre famille »[37].
« Les enfants qui grandissent dans des familles missionnaires deviennent souvent missionnaires, si les parents vivent cette mission de telle manière que les autres les sentent proches et affables, et que les enfants grandissent dans cette façon d’entrer en relation avec le monde, sans renoncer à leur foi et à leurs convictions. »[38]
Conclusion
Nous aurions aimé couvrir d’autres ouvrages importants dans ces quelques lignes, mais l’espace et le temps nous a pressé de nous en tenir à l’essentiel. Le pape Benoît XVI a offert de très belles pistes à explorer dans son exhortation apostolique Deus Caritas Est. Nous aurions également voulu élaborer d’avantage sur l’apprentissage de l’engagement communautaire ou fournir quelques exemples pratiques sur l’enseignement de la patience. Il ressort néanmoins, dans ces quelques paragraphes, que la famille apparaît définitivement, dans le dessein du Créateur, comme le « lieu premier d’humanisation de la personne et de la société, et le berceau de la vie et de l’amour. »[39] Les parents peuvent parfois se sentir démunis devant la complexité de la tâche d’éducation morale de leurs enfants, particulièrement en ce qui concerne la sexualité et la chasteté, mais l’Église les soutient et les encourage, confiante en leur capacité de remplir cette fonction mieux que quiconque[40]. Lieu de développement des bonnes habitudes, elle protège les enfants des dangers qui les guettent et propose un cheminement de croissance singulier, où chacun est accompagné par ses parents selon son rythme et son caractère. Les parents connaissent mieux que quiconque leurs enfants, puisqu’ils correspondent ensemble à l’image de Dieu qui connaît personnellement chacun de ses enfants. Ils peuvent conjointement, à la suite du Christ et par son aide providentielle, leur apprendre la patience, la liberté et la foi.
Le sujet de l’éducation morale des enfants m’interpelle au plus haut point. J’ai 36 ans et je suis père de deux petites filles âgées de huit et six ans. Séparé de mon épouse contre mon gré, je fais actuellement l’expérience de la miséricorde de l’Église à travers le processus de requête en nullité et puisque l’avocat canonique a jugé que j’avais une cause valable, j’ai bon espoir d’obtenir cette nullité. J’ai rencontré Audrée il y a un an, et nous attendons un enfant qui devrait naître au début du mois de mai 2019. Je reconnais devant Dieu et devant les hommes que cette situation est loin d’être idéale, et je mets ma confiance dans le Seigneur qu’il voit les « circonstances atténuantes » de notre péché. Audrée est elle aussi mère de deux garçons de six et deux ans et demi. C’est donc dire qu’au solstice d’été, nous aurons cinq enfants à éduquer ensemble dans la foi et la morale qui s’y attache.
Bibliographie
- PAPE FRANÇOIS. Exhortation apostolique Amoris Laeticia. Cité du Vatican : Libreria Editrice Vaticana, 2016.
- BOURDIN, Anita. «Même les enfants peuvent être canonisés», par l’abbé Lelièvre. Zénit.org. [En ligne] 24 mars 2017. https://fr.zenit.org/articles/meme-les-enfants-peuvent-etre-canonises-par-labbe-lelievre/.
- École biblique de Jérusalem. La Bible de Jérusalem. Paris : Éditions du Cerf, 2000. ISBN 978-2-204-06063-9.
- SCHÖNBORN, Christoph cardinal. Youcat : Catéchisme de l’Église catholique pour les jeunes. Paris : Novalis, 2011. ISBN : 978-2-89646-390-9.
- CONSEIL PONTIFICAL « JUSTICE ET PAIX ». Compendium de la doctrine sociale de l’Église. Ottawa : Éditions de la CECC, 2006.
- BENOÎT XVI. Lettre encyclique « Deus Caritas Est ». Cité du Vatican : Libreria Editrice Vaticana, 2005.
- WEST, Christopher. The Love That Satisfies. West Chester : Ascension Press, 2007.
- CONSEIL PONTIFICAL POUR LA FAMILLE. Vérité et signification de la sexualité humaine : Des orientations pour l’éducation en famille. Cité du Vatican : Libreria Editrice Vaticana, 1995.
[1] SCHÖNBORN, Christoph cardinal. Youcat : Catéchisme de l’Église catholique pour les jeunes. Paris, Novalis, 2011, no. 290
[2] PAPE FRANÇOIS, Exhortation apostolique Amoris Laeticia. Cité du Vatican, Libreria Editrice Vaticana, 2016, no. 259
[3] FRANÇOIS, Exhortation apostolique Gaudete et Exsultate, Cité du Vatican, Libreria Editrice Vaticana, 2018, no. 14
[4] PAPE FRANÇOIS, Exhortation apostolique Amoris Laeticia.… no. 267
[5] Ibid., no. 264
[6] Ibid., no. 265
[7] SCHÖNBORN, Christoph cardinal. Youcat : Catéchisme de l’Église catholique pour les jeunes. Paris, Novalis, 2011, no. 297
[8] PAPE FRANÇOIS, Exhortation apostolique Amoris Laeticia.… no. 275
[9] Ibid., no. 278
[10] Ibid. no. 275
[11] Ibid.no. 268
[12] Ibid.no. 269
[13] Ibid.no. 269
[14] Ibid.no. 275
[15] Ibid.no. 269
[16] CONSEIL PONTIFICAL POUR LA FAMILLE, Vérité et signification de la sexualité humaine : Des orientations pour l’éducation en famille. Cité du Vatican : Libreria Editrice Vaticana, 1995, no. 44
[17] Ibid., no. 40
[18] Ibid., no. 37
[19] Charte des droits de la famille, article 5, cité dans CONSEIL PONTIFICAL POUR LA FAMILLE. Vérité et signification de la sexualité humaine… no. 42
[20] CONSEIL PONTIFICAL POUR LA FAMILLE, op. cit. no. 37
[21] BIBLE DE JÉRUSALEM, p. 1970, +a.
[22] PAPE FRANÇOIS op. cit. no. 275
[23] Ibid., no. 274
[24] Ibid., no. 285
[25] CONSEIL PONTIFICAL POUR LA FAMILLE. op. cit., no. 18.
[26] Ibid., no. 16
[27] Ibid., no. 22
[28] Ibid., no. 23
[29] Ibid., no. 45-46.
[30] Ibid., no. 22.
[31] PAPE FRANÇOIS op. cit. no. 286
[32] Ibid., no. 264
[33] Ibid., no. 288
[34] Ibid., no. 272
[35] COUSTURIÉ, Isabelle, « Ces saint(e)s de père (mère) en fil(le)s », Aleteia.org. 24 octobre 2018. https://fr.aleteia.org/2018/10/24/ces-saintes-de-pere-mere-en-filles/
[36] PAPE FRANÇOIS, op. cit., no. 260
[37] Ibid., no. 287
[38] Ibid., no. 289
[39] CONSEIL PONTIFICAL « JUSTICE ET PAIX », Compendium de la doctrine sociale de l’Église. Ottawa : Éditions de la CECC, 2006, no. 209
[40] CONSEIL PONTIFICAL POUR LA FAMILLE. Vérité et signification ... no. 40
2 réponses
Mathieu,
En effet, les enfants apprennent beaucoup en regardant leurs parents. En silence, ils enregistre les comportements parentaux. À l’adolescence, ils choisiront dans tout ce bagage hérité pour construire leur propre destiné. J’apprends que tu seras père pour une 5e fois. Ta responsabilité est d’autant plus grande. Sois bien et heureux. Yvon R. Théroux.
Merci beaucoup Yvon! Nous attendons le 5e enfant pour le début du mois de mai. Nous aurons donc un beau bébé tout neuf à présenter à l’assemblée générale de MCQRFC 🙂
D’ici là, porte-toi bien! Union de prières!