Faute de prêtre, faut-il célébrer la Parole à l’église locale ou l’eucharistie à l’église voisine?
Tout cela exige de la volonté et une capacité de gérer le changement auquel nous n’avons pas été habitués dans notre Église québécoise. Au contraire, il est permis de douter, à la lumière de notre expérience, que plus d’une paroisse aurait le courage « évangélique » de faire ce virage, pourtant fondé, théologiquement parlant.