Accueil » Blogue
Tout cela exige de la volonté et une capacité de gérer le changement auquel nous n’avons pas été habitués dans notre Église québécoise. Au contraire, il est permis de douter, à la lumière de notre expérience, que plus d’une paroisse aurait le courage « évangélique » de faire ce virage, pourtant fondé, théologiquement parlant.
e crois que la question qui sous-tend cette aberration est celle de la propriété des enfants. Nos enfants nous appartiennent-ils? Selon moi, la plus grande avancée dans ce débat se réalisera le jour où les parlements réaliseront que nos enfants ne nous appartiennent pas. Nous en sommes les gardiens et nous devons nous montrer à la hauteur de cette responsabilité.